L’étude de l’iris, la partie colorée de l’œil, afin d’apprécier l’état global du consultant, c’est à dire :
sa vitalité, son « terrain » ainsi que ses forces et ses faiblesses.

Dans cet iris, tout est noté, ce qui est arrivé au corps, à tout le corps, du squelette aux organes, en passant par tous les fonctions et systèmes vitaux fondamentaux, découvrant aussi son psychisme et ses émotions.
L’iridologie permettrait de révéler les prédispositions à certaines maladies. 
En effet, cette  étude aiderait à la découverte de faiblesses de certains organes et/ou fonctions, avant même l’apparition des symptômes et de la pathologie.
Cependant, l’iridologie n’est pas un diagnostic médical.

La lecture de l’iris se fait au moyen d’une cartographie de l’iris, avec laquelle on se rend compte que, l’œil représente une véritable « carte géographique » du corps.
Chaque organe, chaque fonction correspond à une zone bien définie.
Bien qu’il existe de très nombreuses cartographies, elles ont toutes leur intérêt.

L’iris s’analyse par sa forme, sa couleur, par les différents cercles qui le compose, la densité et l’homogénéité de sa « trame »…
Ensuite, l’étude des signes, présents sur la surface de l’iris, à savoir, les dépigmentations locales, les tâches, les vacuoles ou encore les radis solaris…
Tout l’art de l’iridologue consiste à interpréter, avec précision et fine analyse, le sens de ces signes.

« Ce n’est pas la maladie qui nous intéresse,
c’est l’histoire de la maladie et le sens de la guérison
et c’est ici l’unique intérêt de l’iridologie »
Alain Rousseaux,
un des fondateurs de la naturopathie contemporaine,